Suggestion livre audio: Le pouvoir du moment présent

Le pouvoir du moment présent, Eckhart Tolle

Faites-vous une différence entre vos émotions (blessures, ancrage du passé) et votre ressenti( petite voix intérieure, instinct, essence)?
 
Avez-vous déjà fait une nuance entre les deux? 😉
 
Pour ma pars, ce fut progressif et je réalise qu’il est de plus en plus facile de faire la distinction entre les deux. Ceci me permet de mieux vivre et d’accompagner mon propre cheminement. 🙂
 
Je vous recommande d’écouter le livre Audio de Eckhart Tolle -» Le pouvoir du moment présent ( Dispo sur Youtube)

couronne-princesse

Vos relations: Toxiques ou nourrissantes?

Dès notre jeune âge, nous sommes influencés par les médias. Que ce soit par la «magie» de Walt Disney ou des autres dessins animés, notre vision de la vie est déjà façonnée par ces images parfaites avec ces dénouements parfaits. Honnêtement, je rêvais d’être Arielle dans «La petite sirène» ou Belle dans « La belle et la bête».

Dès le tout jeune âge, ma vision de la vie de famille et de la vie de couple était définie par ce que je voyais à l’écran. Lorsque l’on a 4-5-6,7 ans… notre distinction entre la vie réelle et l’artificielle ne se fait quasiment pas. Du coup, ces expériences cinématographiques s’empreignent dans notre subconscient et elles peuvent provoquer une utopie de ce que devrait être une relation familiale, amicale et amoureuse «saine».

Comme ci le seul défi qui pourrait exister dans une relation serait un méchant qui voudrait du mal à la belle et jolie princesse…

 

Or, lorsque l’on se confronte à des situations où le «méchant» est en réalité une communication inadéquate, des attentes irréelles et des déceptions perpétuelles, il faut se réveiller et réaliser que nos relations sont beaucoup plus enrichissantes et évolutives qu’on peut le croire. Il faut toutefois être ouvert à l’autre, vouloir moduler son comportement, accepter la différence et être un être de changement et de proactivité dans ses relations.

 

Que vous soyez un prince ou une princesse, votre histoire est unique.

C’est vous qui décidez.

 

Voulez-vous grandir et évoluer ?

Voulez-vous stagner et continuer votre cycle de frustration ?

 

 

 

 

 

 

plaisir-automne

Vivre au Québec pour les saisons.

J’ai étudié une session à Miami en Floride alors que j’étais à l’Université de Sherbrooke. J’ai apprécié mon expérience et il était plaisant de vivre son hiver à plus de 20 degrés Celsius.

Toutefois, j’ai réalisé combien il était agréable d’avoir des saisons contrastantes au Québec.

  • l’automne et les feuilles multicolores
  • l’hiver et le paysage tout blanc
  • le renaissance de la nature au printemps
  • la vitalité et la verdure de l’été

En Floride, les saisons sont très peu remarquées comparativement à notre province. Les mêmes activités sont offertes à l’année et le paysage est quasi identique 365 jours par année. Bref, j’ai constaté que j’appréciais les 4 belles saisons du Québec pour les différents trésors qu’elles nous offraient.

 

Alimentation-vitalité-global

Avez-vous une vision globale de votre santé?

Avez-vous une vision globale de votre santé?

Pour ma part, j’ai longtemps concentré mon énergie sur un aspect à la fois et progressivement les autres éléments se sont ajoutés.

Je me rendais bien compte que malgré tout mes efforts pour être mieux, il y avait toujours des situations qui me faisaient perdre mon équilibre ou bien je restais simplement sur un «plateau» autant sur l’aspect physique, mental et émotionnel.

Au début, je mettais de l’énergie sur l’entraînement. Je voulais être en santé et en forme. Donc, je m’entraînais intensément et malheureusement je n’avais pas les résultats souhaités…

J’ai commencé à m’intéresser à l’alimentation. Inconsciemment, j’ai toujours eu un intérêt pour l’aspect alimentaire. À cet époque, j’étais une jeune femme très gourmande! Les desserts étaient un vice dans lequel j’avais de la difficulté à garder le contrôle, car en effet je perdais le contrôle! ( Plus tard, j’ai compris que mon microbiote était débalancé, que l’entraînement longue distance créait énormément de radicaux libres et que j’avais une alimentation beaucoup trop élevée en glucide.)

Vous devez savoir que mon choix de carrière n’a jamais été clair. Il s’est dessiné au fur et à mesure des expériences et des évolutions vécues. Donc, j’ai mangé beaucoup de poutine, de crème glacée, de nachos avec extra crème sûre, des «grilled cheese» avec une tranche de fromage jaune, du macaroni aux saucisses hot dog, des pâtes Lipton et que j’ai consommé beaucoup d’alcool, de boissons énergisantes, etc.

Bref, en constatant que j’avais peu de résultats sur ma composition corporelle et mon énergie, j’ai commencé à lire davantage sur l’alimentation et sur les aliments inflammatoires.

C’est vers l’âge de 21 ans que j’ai vraiment débuté la combinaison de l’alimentation et du mode de vie actif.

J’ai vu des changements et j’allais relativement bien. Je me sentais en forme physiquement, mais j’avais souvent le rhume et j’étais très stressée.

Un stress où la tête ne cesse jamais et où l’on devient étourdi à trop penser. Plusieurs personnes appellent ce contexte «stress de performance».  J’avais une façon de voir la vie comme-ci tout était un test à réussir et que l’échec est une fatalité. Dans la réussite, j’avais l’impression d’être accepté et aimé alors que dans l’échec…

Avec les expériences vécues depuis les 10 dernières années, j’ai développé un aspect de ma vie que j’avais négligé et c’est celui de ma spiritualité. Plusieurs d’entre nous ont été échaudés par le dogme malveillant de certains groupes à utiliser les religions comme façon de manipuler les gens et de dénigrer la différence. Nous avons donc appris à nous fermer envers tout ce qui est  intangible.

Aujourd’hui, je suis heureuse de dire que j’ai reconnecté avec mon enfant intérieur et la beauté de la vie. La quête du soi est un processus qui est infini et lorsque l’on s’accepte tel que l’on est et que l’on perçoit les défis que l’on a comme des tremplins pour nous faire évoluer, le stress se transforme en énergie positive.

Lorsque je parle de spiritualité je fais abstraction à la religion. La spiritualité est une façon de connecter avec notre «moi intérieur» ainsi que notre environnement. Nous avons tous une spiritualité qui est unique et malheureusement plusieurs personnes ne vont jamais la développer.

Le hic, c’est que nous nous laissons porter par la vitesse et la performance proposée par notre société. Un système qui est fait pour nous annihiler et nous transformer un robot de production.

 

Pour ma part, j’ai encore beaucoup à apprendre dans ce domaine. Plus on se découvre et plus la vie devient un monde infini de possibilités! Il m’arrive encore de faire des «rechutes» par rapport au stress de performance et autres aspects. Cependant, maintenant je suis consciente que lorsque le stress apparait c’est parce que je ne suis plus «moi» et que je fais des choix en fonctions des autres.

Pourtant, la différence c’est ce qu’il y a de plus beau.

Aujourd’hui, je me sens en santé, pleine de vitalité et je ressens une grande force intérieure qui est basée sur l’amour et l’entraide.

Alors, que ce soit une alimentation saine et adaptée, un mode de vie actif sain et une spiritualité évolutive, tous ces éléments sont importants, car ils sont en interrelations et dans un continuum de développement personnel.

Je vous souhaite une vie remplie de bonheur intérieur. 🙂

 

 

 

 

 

«Je me sens bien.»

«Je me sens bien.»

Saviez-vous que votre santé influence votre niveau d’énergie ainsi que votre santé émotionnelle et mentale?

Il faut prendre conscience que l’absence de maladies n’est pas nécessairement un signe de santé optimale. En effet, certaines personnes n’ont pas de diagnostiques et pourtant elles sont épuisées ou elles ont des signes et symptômes de toutes sortes.

En tant qu’individu, nous avons un rôle et une responsabilité à prendre pour éviter que ces «désordres» persistent et qu’ils progressent vers la maladie.

Prenez soin de vous.

https://naturopathemariesoleil.com/prendre-rendez-vous/

 

 

« Tu transpires comme un gars ! Wouash !»

« Tu transpires comme un gars ! Wouash !»

C’est ce que Vincent, un ado populaire et sportif de ma polyvalente m’a dit lorsque j’avais 15 ans et que je sortais d’une partie de basketball sur l’heure du dîner.

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Au primaire, je faisais partie de la catégorie «Tom boy».

J’aimais courir, participer aux cours d’éducation physique, jouer dehors, faire du «bike» dans le champ, jouer au ballon-chasseur à la récréation, jouer dans le bois et me construire des camps.

À l’école, c’est-à-dire de secondaire 1 à 3, je faisais partie de l’équipe de volleyball et je participais aux différents sports proposés le midi.

Marie-Soleil, 12 ans

Pourquoi ?
Parce que j’ADORAIS ça !

À 15 ans, j’ai commencé à croire qu’il était vrai que de transpirer pour une fille, ce n’était pas beau.

Les cheveux mouillés et collés dans le front.

Le t-shirt en coton avec des cernes sous les aisselles et dans le dos et les joues rouges écarlates

On était loin du «brushing» et du look «girly».

À ce moment, j’ai réduit mon niveau d’activité physique. Je trouvais des raisons ici et là pour ne pas avoir trop chaud et pour rester «belle» (même si à cet époque je ne m’aimais pas.)

Je voulais ressembler à Shakira, Britney Spears ou à Christina.

Source photo: Celebsvenue

Source: Betmusic

À cette époque, ces femmes représentaient pour moi ce qui était une VRAIE belle femme. Donc, la pratique du sport et les « effets secondaires » qui en découlaient ne concordaient pas du tout avec ma perception d’alors de la féminité.

Graduellement, je suis devenue cette image :

-Bronzage hedbomadaire
-Maquillage (fond de teint, mascara, crayons à yeux, «lipgloss»,…
-Cheveux blond platine
-Vêtements «sexy»
-Bottes en cuir
-…

Marie-Soleil, 15/16 ans

Bref, vous voyez le topo.

Cette période de crise identitaire a duré de 15 à 20 ans. C’est lorsque j’ai pris une année sabbatique avec l’école que je me suis retrouvée.

Pendant cette année de réflexion académique, j’ai eu la chance de travailler dans un magasin de sport nommé Reno Sport à Victoriaville. Je me suis reconnectée avec la petite fille sportive qui aime avoir du plaisir et qui se permet de transpirer. 😉

Pourquoi ?

Je travaillais avec des gens qui avaient un mode de vie actif et je constatais à quel point ils semblaient heureux et épanouis.

À 20 ans, j’ai renoué vraiment avec l’activité physique.

J’ai commencé à courir pour le plaisir de bouger et pour doucement redécouvrir le plaisir que j’ai à m’entraîner et à me dépasser.

Aujourd’hui, à l’aube de mes 31 ans, je me trouve belle lorsque je transpires et que j’ai la sueur qui me brûle les yeux après un entraînement de course. 😉

Lorsque je participe à une compétition de canicross, je ne me questionne plus sur la « face » que je peux faire lorsque je travaille si fort. J’ai seulement du plaisir !

Je me trouve belle à l’extérieur et le plus précieux je me trouve belle à l’intérieur.

Je ne suis pas une «Tom boy», je suis une femme sportive qui aime s’entraîner.

Une femme en santé est une femme qui a un mode de vie actif.

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J’ai énormément de respect pour les filles, les adolescentes et les femmes qui ont adopté un mode de vie actif et qui brisent les stéréotypes.

Source: Joy Gayler

Je suis admirative envers la gente féminine qui aime se dépasser et qui aime vivre des moments forts dans le monde de l’activité physique.

Source: Marilyne Vachon

Vous êtes des inspirations pour celles qui n’osent pas et qui ont peur du jugement.

Par votre confiance, votre détermination et votre plaisir à être active dans votre mode de vie, vous êtes des êtres de changement majeur.

Je vous aime et vous m’inspirez.

Source: Évènement Sirius

image-porte-stress

Stress: Je ferme la porte.

Il m’arrive régulièrement d’avoir la tête trop pleine d’idées et de trucs à faire. Je suis certaine que la plupart d’entre vous, vous êtes comme moi! ( malheureusement) Depuis le déménagement, j’étais dans ma tête à penser à toutes les tâches et les micros tâches à faire pour préparer mon bureau qui est maintenant à la maison.

Au milieu de mai, j’ai réalisé que de se mettre mentalement dans l’obligation de tout faire et de le faire vite n’est pas la meilleure réponse pour maintenir son équilibre. On se sent pressé, bousculé et bien sûr insatisfait, car il y arrive bien entendu des imprévus!

Pour éviter de penser aux différentes tâches constamment, j’ai décidé d’ajouter une touche symbolique à ma porte de bureau! haha! En effet, j’ai décidé de prendre le temps de calmer mon mental avant de sortir de celui-ci lorsque ma journée est terminée. Lorsque je sens que mes idées se calment, je sors du bureau et je ferme la porte en imaginant que toutes les pensées en lien avec le travail restent dans cette pièce.  Ainsi, je suis plus détendue et je vis davantage le moment présent. Dans cet état de silence et de légèreté, on se permet du temps pour soi.

Aussi, l’empressement de tout accomplir pour hier s’évapore et la perception de notre environnement s’adapte.

C’est en pensant à tout sauf soi-même que notre stress intérieur augmente.

Donc, qu’allez-vous faire pour calmer votre mental?